Saint-Georges Côté Le Marchand de Bonheur ! |
Mon ami Saint-Georges avait le goût et trouvait le temps de rendre service. Il était serein et il y avait beaucoup d'amour autour de lui. Ce que je retiens de Saint-Georges, c'est sa grande charité et sa disponibilité généreuse. '' le Père Raymond Bernier Patro Roc-Amadour'' |
En 1953, Saint-Georges participe à deux fantastiques dépouillements d'arbres de Nöel. Le premier, organisé par l'Association de Bienfaisance des Pompiers de Québec se déroule au Palais Montcalm où plus de 900 cents enfants assistent à un spectacle et recoivent des jouets de toutes sortes. Par la suite, l'ARBRE SAINT-GEORGES est transporté sur la glace du Colisée. Le même spectacle est présenté et près de 20,000 enfants y assistent. Grâce à de nombreux commanditaires, 25,000 bas de Noël sont distribués gratuitement. On offre également 500 bas géants d'une valeur de $15 chacun à ceux qui donnent un numéro de chant ou de musique. Ces deux dépouillements de l'ARBRE SAINT-GEORGES sont une réussite totale et permettent à ces milliers d'enfants de participer à cette grande fête de Noël. |
En 1956, le Club Kiwanis-Sillery désire procurer des maillots de bains à chacune des 200 fillettes de l'Hospice Saint-Charles à Cap-Rouge. On demande alors l'aide de Saint-Georges. Il intervient 5 fois en onde. Le résultat : 315 maillots de bains sont parvenus à l'Hospice Saint-Charles. |
En 1955, Saint-Georges invite la population à participer au premier radiothon réalisé à Québec ; le but est de recueillir des fonds en faveur des aveugles. Avec la collaboration de Jacques Laroche, Guy Samson, Freddy Grondin, Roger Gagnon, l'Archevêque de Québec, le Président de l'Institut National des Aveugles (l'Honorable juge Joseph Bilodeau), le Ministre Antoine Rivard, les Chevaliers de Colomb, des centaines de bénévoles, des stations de service, des restaurants, des policiers, des pompiers, d'environ 150 artistes, Saint-Georges réussit à ramasser environ $110,000 DOLLARS. |
En 1957, le père Buteau, missionnaire québécois oeuvrant en Afrique demande à Saint-Georges de lui trouver une centaines de pipes pour ses paroissiens. Suite à un appel à tous sur les ondes de CKCV, Saint-Georges reçoit 1447 pipes. Un de ses commanditaires, Quebec Piano Moving se charge de faire l'emballage et de transporter le tout jusqu'au bateau. |
En 1961, le curé de Pointe-Bleue, au Lac St-Jean, est à la recherche de patins pour ses ouailles. Il a ouvert une patinoire pour divertir son monde mais les gens ne peuvent se payer des patins neufs. Encore une fois, Saint-Georges fait appel à la générosité de ses auditeurs. Dès 8 heures le matin, le téléphone commence à sonner. À midi, un camion apporte plusieurs paires de patins et, à la fin de la première journées, Saint-Georges réussit à en recevoir plus de 2,000 paires. Comme il y en a vraiment trop pour Pointe-Bleue, le surplus est envoyé au Père Raymond Bernier . Le Père Bernier est responsable des paroisses de Saint-Sauveur et de Saint-Malo dont il s'occupe avec beaucoup de ferveur. Saint-Georges et le Père Bernier sont de grands amis et le demeureront toute leur vie. |
En 1966, l'Hôtel Blanchard situé dans le Vieux Québec passe au feu et tout le quadrilatère entourant l'édifice est ravagé par les flammes. Les familles sont sur le pavé et n'ont pas les moyens financiers pour faire face à une telle situation. SAINT-GEORGES organise une campagne d'aide aux sinistrés. Il réussit à avoir gratuitement un local où les gens peuvent aller porter meubles, vêtements ou nourriture. Les dons en argent sont confiés au curé de la paroisse Notre-Dame-des-Victoires. La collaboration de ses auditeurs est, encore une fois, sans précédent ! |
SAINT-GEORGES ne fait pas que ramasser des objets pour les autres. Il s'implique dans plusieurs milieux socio-populaires. Il est tour à tour : président du Club Vente-Publicité, président du Club des Journalistes, président du Club Kiwanis, directeur de la Chambre de Commerce, membre de la Société Saint-Jean-Baptiste, membre de la Fédération des Oeuvres de Charité, directeur de la campagne de la Société Canadienne du Cancer. Tous ces organismes ont bénéficié de sa grande disponibilité à rendre service. Il y en aurait des centaines à raconter. Il plaide la cause des chauffeurs de taxi, vient en aide à un camp, retrouve la voiture de monsieur Untel, déniche une aide familiale pour une femme dans le besoin...et combien d'autres ! Il trouve des réponses à toutes les demandes et arrive à solutionner la plupart des problèmes qui lui sont présentés. Sa pricipale qualité pour avoir une telle réussite : IL AIME LE MONDE ! |
En 1958, lors de la fondation du Patro de Charlesbourg, il organise et anime gratuitement la première grande soirée servant à recueillir les fonds nécessaires. |